Trucs et conseils

Est-ce qu’on doit avoir de la chance pour réussir en affaires?

Si vous avez déjà joué au Poker, au Black Jack ou à d’autres jeux de cartes, vous savez qu’il est impossible de toujours gagner sans l’apport d’un peu de chance. Selon moi, il en va de même aussi en affaires. Certes il y a quelques entrepreneurs en série qui, en apparence, semblent toujours être au bon endroit au bon moment. Mais ce sont des exceptions.

La très grande majorité des entrepreneurs qui ont connu du succès vous le diront : ils ont atteint les plus hauts sommets grâce à trois facteurs déterminants : le travail, l’équipe et… le « timing ». « Timing is everything ! » diront même certains. Vous et moi savons bien que timing n’est qu’un autre mot pour exprimer la chance.

Est-ce qu’on doit avoir de la chance pour réussir en affaires?

Évidemment, personne ne conseillerait aux joueurs de Poker, de Black Jack ni aux entrepreneur•e•s de s’appuyer uniquement sur la chance pour réussir leur projets. Tous leur diront qu’il faut commencer par apprendre, étudier le jeu, bien connaître les règles et comprendre la dynamique des forces en présence, de part et d’autre. Pour gagner à répétition en affaire comme aux cartes, il faut d’abord maitriser le jeu. Plus on est de haut niveau, meilleures sont nos aptitudes à tirer profit des opportunités qui se présentent.

Faire sa chance !

Qu’en est-il alors du concept de faire sa chance ? Serait-ce qu’on peut la provoquer ? Elle ne serait donc pas seulement le fruit du hasard ? Le grand Wayne Gretzky disait : « Vous manquez 100% des tirs que vous ne faites pas ». C’est donc assez simple à comprendre, si vous ne passez jamais à l’action, si vous n’osez jamais, il ne se passera pas grand-chose. Même pour gagner à la loterie il faut d’abord acheter un billet !

La chance se manifeste à ceux qui sont dans l’action, qui prennent des risques, qui savent saisir les opportunités qui se présentent sur leur passage. Il faut garder l’œil ouvert, demeurer positif et même optimiste. Il faut savoir être créatif et tourner à son avantage quelque chose qui parfois pourrait paraître comme de la mauvaise fortune.

Bref, le développement de ses compétences entrepreneuriales diminue le risque dans la prise de décision. On sait davantage distinguer ce qu’est une bonne opportunité et une moins bonne. On comprend mieux les impacts de ses décisions sur d’autres systèmes en jeu. Dans tous les cas, ceux qui ont de la chance sont ceux qui sont dans l’action, qui tentent leur chance en saisissant des opportunités et en donnant leur maximum pour les transformer en succès.

Lire l’article en lien : Entreprendre à 40 ans : il n’est jamais trop tard pour bien faire

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